One More From Road-Deluxe Edition AcheterOne More From Road-Deluxe Edition Descriptions du produit:
Détails sur le produit
- Rang parmi les ventes Amazon: #695102 dans Musique
- Sorti le: 2008-01-13
- Nombre de disques: 1
- Format: Import
- Dimensions: .40" h x
5.60" l x
4.90" L,
.42 livres
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8 internautes sur 8 ont trouvé ce commentaire utile.
Par gégé-blues
Encore un chef d'oeuvre que j'ai usé jusqu'à le rendre "transparent" quand je l'ai acheté en double vinyl à l'époque de sa sortie en 1976. Cette réédition de 2002 est une excellente initiative, 2 CD bourrés de blues-rock sudiste où nous retrouvons l'essentiel, en public, des 4 premiers opus du groupe.Que dire, sinon que voilà l'indispensable de Lynyrd Skynyrd, du southern rock tout simplement extraordinaire ! un son d'enfer, des envolées guitaristiques splendides, des titres inoubliables joués dans une ambiance qui donne chaud au coeur ! et puis deux versions (différentes) de "crossroads" 2 fois 14mn de "free bird" , "sweet home alabama" en deux interprétations, j'en passe et des meileurs, on ne s'en lasse pas ! C'est vrai que je suis un inconditionnel du groupe, mais franchement, tout amateur de rock sudiste se doit de posséder ce double chef-d'oeuvre sensationnel !
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Par Luc B.
Lynyrd Skynyrd, le nom de groupe imprononçable par excellence. J'ai entendu quelque part que c'était le surnom donné au prof de sport de Ronnie Van Zant. Van Zant (au chant) et Gary Rossington (guitare) ont formé ce groupe au milieu des années 60, mais c'est à partir de 1970 qu'ils ont explosé. Ce gang de chevelus et de junkie a malheureusement été décimé dans un accident d'avion en 1977. Les survivants ont repris le flambeaux quelques années plus tard, profitant de l'engouement du public pour ce groupe. Mais le meilleur avait déjà été gravé, et on le retrouve sur ce live.Ce ONE MORE FOR THE ROAD a été enregistré en 1976, et dans le genre "rock sudiste", c'est un must. C'est quoi le rock sudiste ? On va dire que c'est du rock-blues-boogie-country, au son brut, moite, grassouillet sur les bords et arrosé d'hectolitres de bière. Les classiques du groupe sont passés en revue, comme l'inusable « Sweet home Alabama » et sa succession de solos, le très rock'n'roll « Whiskey rock a roller » , le rigolo et swinguant « Gimme three step », une excellente reprise de JJ Cale « Call me a breeze », et bien sûr, le morceau de bravoure du groupe : « Free bird ». Ce morceau est un incontournable des concerts, une interminable chevauchée de guitares, après un départ très baba cool, avec imitation (merci de ne pas rire) du cui-cui de l'oiseau en question par la guitare ! Chez Lynyrd Skynyrd, ils étaient trois guitaristes solistes, ce qui multiplie les chorus et les styles. Mais le jeu de pianiste Billy Powell, est aussi primordial. En plus de l'ambiance boogie-rock, il apporte une touche assez lyrique aux morceaux bluezy. En la matière, ma préférence va au très beau « Tuesday gone », avec l'harmonica en prime.La musique des Lynyrd Skynyrd donne dans le basique, le crasseux, bref le bon rock qui tache. On est loin des Allman's Brother, auxquels ils sont souvent comparés. Les Allman venaient du Sud aussi, mais leur musique était plus portée sur le blues, voire le jazz, avec de longs instrumentaux improvisés, un son pur et cristallin. Lynyrd Skynyrd se rapprocherait davantage du Marshall Tucker Band, encore que ces derniers sonnent plus country. Bref, le mieux, c'est d'acheter, d'écouter et vous faire votre opinion ! ONE MORE FOR THE ROAD est un très grand disque live, lyrique, énergique, un classique du genre.PS : cette version Deluxe n'apporte pas grand chose de plus. Un son nettoyé, et des prises alternatives... mais rien de franchement inédit. Préférez le CD d'origine.
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Par Lester Gangbangs
Préambule concernant la réédition « Deluxe » : par rapport au double 33 T original deux morceaux ont été rajoutés, l''ordre des pistes bouleversé et une flopée d''alternate takes offertes en bonus. Les morceaux proviennent de trois concerts donnés par le groupe en juillet 1976 à Atlanta, et ni les Lynyrd ni leur producteur Tom Dowd n''étant sourds ou idiots, les morceaux publiés à l''époque étaient les meilleurs. Pourquoi donc sous le prétexte de rajouter quelques bonus inutiles saccager ainsi un enregistrement historique d'un groupe majeur ?« One more ... » est un bon disque en public. Enregistré « à la maison » en Géorgie avec drapeau sudiste ornant le fond de la scène, il redonne un coup de fouet à la carrière artistique du groupe. Le « 3ème guitariste », le grassouillet Ed King est parti remplacé ici par Steve Gaines. Et si les talents de compositeur de King manqueront en studio, le nouveau venu assure à l''ombre des deux guitar-heroes Rossington et Collins.Bien sûr il y a ici où là quelques longueurs complaisantes (sept musiciens plus trois choristes ont besoin d' « espaces » pour s''exprimer), mais aussi de très bons moments : leur hymne « Sweet home Alabama » évidemment, et quelques reprises « sévèrement burnées » (la scie country « T for Texas » de Jimmie Rogers, « Call me the Breeze » de JJ Cale, « Crossroads » du « diabolique » bluesman Robert Johnson via les versions de Clapton, l''original étant nettement moins « explosif ») au milieu des classiques de leur répertoire.Tout cela ne pouvant bien sûr se terminer que par une version de 14 minutes de leur légendaire « Freebird ».Dernier grand éclat discographique du groupe, « One more from the road », précède d''un peu plus d''un an l''accident d''avion qui allait décimer la bande et mettre un point final à l''aventure du plus grand groupe de rock sudiste, les reformations tardives des rescapés ou les péripéties du Rossington-Collins Band n''apportant rien de bien intéressant par la suite.
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