Wild Women Don't Have the Blues Descriptions du produit:
Détails sur le produit
- Sorti le: 2005-07-05
- Nombre de disques: 1
- Format: Import
Commentaires clients
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2 internautes sur 2 ont trouvé ce commentaire utile.Wild men have the blues for this album
Par L. Pierre
Il y a longtemps que je voulais faire une chronique sur cet OVNI musical, le label CANDID se prêtant particulièrement à ce type de découverte...Entourée d'un grand orchestre mené par le trompettiste Buck CLAYTON et composé des saxophonistes Buddy TATE (au ténor), Danny BANK (au baryton) et Tom GWALTNEY (à l'alto et à la clarinette), du tromboniste Dick WELLS, du guitariste Kenny BURRELL, du pianiste Dick WELLSTOOD, du bassiste Milt HILTON et du batteur Oliver JACKSON, une jeune chanteuse blanche quasi inconnue de 32 ans interprête de magnifiques blues avec une maturité et une maîtrise remarquables.Pour mettre dans l'ambiance, écoutez « Take me back baby », le premier morceau et vous découvrerez rapidement la voix chaleureuse et langoureuse, pétri de swing de cette chanteuse.Les meilleurs morceaux sont « On the sunny side of the street », « Wild women don't have the blues », un très réussi "I've got the world on a string" et surtout l'excellent "Blues for yesterday" qui termine ce bel album court, mais intense.Après ce coup d'éclat et un autre album plus confidentiel, notre wild woman (qui ne l'était pas en fait autant que cela) a arrêté sa carrière pour élever ses enfants (source Wikipedia) et n'a repris sa carrière qu'en 1975 pour sortir quelques albums beaucoup plus intimistes dont deux notables pour le label italien Soul Note : le rarissime « Secrets » avec Clark TERRY, Dick KATZ, Ray DRUMMOND et Ben RILEY (personnellement mon préféré) et « Lost Lady » avec cette fois Phil WOODS (et le soutien d'un autre chanteur Vernel BAGNERIS) et la même section rythmique...
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