La dame d onze heures [VHS] Acheter

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La dame d onze heures [VHS] Descriptions du produit:

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• Rang parmi les ventes Amazon: #5467 dans VHS
  
• Sorti le: 1999-12-01
• Evaluation: Tous publics
• Format: PAL
• Langue d'origine:
  Français
• Durée: 90 minutes

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2 internautes sur 2 ont trouvé ce commentaire utile.
Comédie policière "à l'ancienne"
Par CLB
Intrigue, dialogues (im)pertinents, romance etc. Film de 1947. noir et blanc. mériteRAIT une édition en DVD. Acteurs comme : Jean Tissot (voix traînante en majordome narquois), Paul Meurisse ("flegmatique" en détective qui assure), Pierre Renoir, etc - le tout dans une ambiance (et une musique) un peu appuyée(s), et drôle...

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un OVNI du cinéma français
Par D. André
Un film d'une étrangeté absolue dans le cinéma français des années 40 et même au-delà. Cette enquête policière est bâtie sur un rythme trépidant, ne laissant aucun temps mort, sur une mise en scène inventive (les filages, mais aussi toute l'introduction), des dialogues impertinents, une interprétation d'une qualité rare et des décors naturels poétisés par une belle photo. A quand une édition DVD de ce petit chef d'oeuvre méconnu ? A noter que Devaivre fit un second film inoubliable, LA FERME DES SEPT PECHES, avant de rentrer dans le rang puis d'arrêter le cinéma à la fin des annàes 50.

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Symphonies 4 & 5 Acheter

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Symphonies 4 & 5 Descriptions du produit:

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• Rang parmi les ventes Amazon: #547842 dans Musique
  
• Marque: DUO
• Sorti le: 2002-05-31
• Nombre de disques: 2
• Formats: CD, Import
• Dimensions: .50" h x
  5.50" l x
  5.00" L,
  .25 livres
  

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2 internautes sur 2 ont trouvé ce commentaire utile.
Deux magnifiques interprétations récentes
Par earthlingonfire
Après avoir enregistré des intégrales Beethoven, Brahms, Bruckner, Mahler, Schumann et Tchaïkovski avec le Concertgebouworkest alors qu'il en était le directeur musical, Bernard Haitink revient sur ses pas à la fin des années 1980. A chaque fois, c'est un véritable aboutissement : Brahms avec le Boston Symphony, Mahler avec les Berliner Philharmoniker et Bruckner avec les Wiener Phiharmoniker dans les 3° et 8° (ASIN : B000069KIV), et 4° et 5°. Autant le dire, ce couplage est coiffé au poteau par Jochum : ses 4° et 5° avec la Staatskapelle de Dresde (intégrale EMI) et le Concertgebouworkest (Tahra), ainsi que sa 4° avec les Berliner Ph. (intégrale DG) et sa 5° avec le Concertgebouworkest à Ottobeuren (Philips) écrasent le reste de la discographie. Mais si l'on cherche de grandes interprétations récentes, Haitink s'impose avec Wand (RCA).A côté de la 4° enregistrée par Decca avec le même orchestre et Böhm au pupitre, le son pourra paraître terne : pas de pupitres localisés au bistouri, pas de cuivres projetés à des kilomètres des cordes, bref de rutilance artificielle mais une atmosphère acoustique homogène où on entend les plans sonores ménagés par le chef, pas par l'ingénieur : est-ce un mal ? L'interprétation est typique de Haitink : l'autorité de la maîtrise orchestrale et intellectuelle impose le silence.Ce sont ces mêmes qualités, cette même aptitude à penser l'oeuvre à long terme, cruciale dans Bruckner, qui paradoxalement neutralisent un peu la 5°. L'énergie que Haitink distribue magistralement sur la globalité de l'oeuvre, Jochum semble la maximiser en chacun de ses points. A Haitink les immenses lignes à perte de vue, à Jochum la pulsion irrépressible prête à faire éclater le cadre. Faute de cette puissance purement physique, de coup de rein, Haitink ne peut véritablement hisser l'auditeur à une extase "berninienne" comme seul Jochum a su le faire dans cette oeuvre, mais reste au niveau d'une perfection plastique un peu placide et détachée. Il ne nous en reste pas moins une interprétation de très haut niveau, la meilleure de l'Orchestre philharmonique de Vienne de toute façon.

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Yellow submarine Descriptions du produit:

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• Rang parmi les ventes Amazon: #42344 dans DVD
  
• Sorti le: 1999-09-12
• Format: PAL
• Langue d'origine:
  Français

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L'l'idyllique royaume de "Pepperland" vivait en paix. Mais voici qu'un jour, les cruels "Blue Meanies" viennent s'en emparer. Aussitôt qu'ils en sont avertis, les quatre Beatles affrètent leur sous-marin jaune et quittent Liverpool pour se rendre à Pepperland et libérer le royaume, avec pour seules armes l'amour et la musique. Premier dessin animé rock, Yellow Submarine est le couronnement de la période psychédélique des Beatles. Le scénario est brodé à partir de motifs piochés dans les albums Revolver et Sgt Pepper Lonely Hearts Club Band, mais en retour donna lieu a la création de quelques morceaux inédits, tels que le fameux "All you need is love". Un peu daté (par son graphisme et son propos) dans la mesure où il est très emblématique d'une époque, le film n'en garde pas moins tout le charme de sa naïveté et de son inspiration surréaliste. Et puis, naturellement, il y a la musique... -- Fiches du cinéma

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9 internautes sur 9 ont trouvé ce commentaire utile.
Il était une Fois... ou peut-être deux...
Par Jean Dupont
Complètement psychédélique, mélangeant plusieurs techniques d'animation, doté d'un scénario qui enchaîne jeu de mot sur calembour, sous la direction artistique du graphiste allemand Heinz Eidelmann, et parsemé de chansons des Beatles, « Yellow Submarine » est un OVNI dans l'univers du dessin animé.

Surprenant, parfois déroutant, mais toujours inventif à chaque plan, ce film d'animation réalisé avec le concours des célèbres « scarabées » anglais ravira petits et grands, malgré le fait que le graphisme, très typé des années 60, aie pris un sacré coup de vieux.La version présentée sur le DVD a été entièrement restaurée et propose une séquence inédite incluant une «nouvelle» chanson : «Hey Bulldog».

Menus animés, croquis, story-boards, interviews des doubleurs, bande-annonce, commentaires audio, rien ne manque pour rendre ce voyage en Sous-marin Jaune inoubliable.

18 internautes sur 19 ont trouvé ce commentaire utile.
le préfèré de ma famille
Par gp
Un chef d'oeuvre de l'immagination de grands musiciens. Sans etre un fan des beatles, malgré que se soit de mon époque, je peux vous confirmer que ce DVD est le plus regardé de toute ma collection, films inclus. Les titres sont supers, la qualité d'immage excellente et l'histoire est absolument géniale. Sans l'habituelle violence des dessins animés des nouvelles générations, mes enfants de 4, 8, 9 et 12 ans en rafollent ..meme la plus jeune, 10mois, écoute et regarde avec intéret. En bref : à ne pas manquer dans la collection !!!!!!

7 internautes sur 7 ont trouvé ce commentaire utile.
Précision
Par Bluenock
Je viens de lire le commentaire de Jean Dupont qui parle d'un inédit dans la version restaurée en DVD, à savoir "Hey Bulldog". En fait ce n'est pas un inédit, puisque quand ce film est sorti, cette séquence existait: je l'ai vu quand j'étais à Londres cette année là. Et ce que je n'ai pas compris, c'est pourquoi je n'ai plus jamais vu cette séquence chaque fois que j'ai revu le film par la suite.

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Symphonies 1-4 Acheter

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• Rang parmi les ventes Amazon: #321050 dans Musique
  
• Sorti le: 2002-04-09
• Nombre de disques: 2
• Format: Import
• Dimensions: 1.00" h x
  5.50" l x
  5.00" L,
  .40 livres
  

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1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.
A recommander
Par Jean François
A mon avis la meilleure intégrale.C'est intelligent, pétillant, toujours de la Musique.dans la 4ème on pourra compléter avec Bernstein, Chailly ou Cantelli si on trouve.

3 internautes sur 5 ont trouvé ce commentaire utile.
Sawallisch, toujours un choix prioritaire pour qui veut découvrir les symphonies de Schumann
Par Mélomaniac
Cette intégrale des symphonies de Schumann, gravée par Wolfgang Sawallisch au début des années 1970, fut toujours admirée grâce à ses vertus fédératrices : approche parfaitement sentie, orchestre fin et authentiquement timbré, tout cela mené par une direction vive et inspirée qui occulte les passagères "lourdeurs" des oeuvres.Seule la prise de son me semble préjudiciable à une totale netteté des lignes : l'acoustique généreuse de l'église Lukaskirche liquéfie la scansion des contrebasses et confère parfois à l'orchestre la rumeur d'un d'orgue, ce qui nuit au rebond des allegros et scherzos.Pour autant, le mouvement lent de la "Deuxième" y trouve une sonorité paradisiaque.La symphonie du Printemps bénéficie des timbres fruités de la Staatskapelle, qui anime avec finesse ses quatre tableaux bucoliques.Dans la "Rhénane", l'agilité sans limite des pupitres dresdois autorise un finale d'une virtuosité inégalable. La baguette très prompte du chef allemand suscite cette célérité mercurienne qui emporte l'oeuvre dans une chorégraphie scintillante.Les partisans d'une approche plus sombre se reporteront à la version de Carlo-Maria Giulini avec le Philharmonia (EMI).Dans la "Quatrième", la texture légère de l'orchestre saxon tire semblablement cet opus vers le grand jour plus que vers les pénombres mystérieuses qui caractérisent le romantisme noir qu'y débusquait Furtwängler.Son brumeux climat de légende est dissipé par une approche radieuse, à laquelle on n'adhère pas totalement, mais dont la vitalité ne laissera personne insensible.Si vous devez choisir parmi les plus recommandables intégrales, celle-ci s'impose toujours en tête.Mais n'oublions pas le style révérencieux de Georges Szell à Cleveland (CBS), dont le classicisme s'avère tout aussi indémodable.Ou l'ardeur de Bernstein et sa bouillante Philharmonie de New York (CBS), d'une séduction tellement tentatrice.Si vous êtes amateur de somptuosité instrumentale, la melliflue Philharmonie de Vienne dirigée par Georg Solti (Decca) vous tend les bras.Et pour qui voudra approfondir la découverte idiomatique de ce corpus, Franz Konwitschny et le Gewandhaus de Leipzig (Berlin Classics) vous ramèneront à l'anthentique.

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Le bassin de j.w. [VHS] Acheter

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• Sorti le: 1999-07-28
• Format: PAL

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1 internautes sur 3 ont trouvé ce commentaire utile.
Monteiro = génie
Par A. MICHAEL
Monteiro est un génie. Tour à tour burlesque, philosophique, la comédie humaine qu'il met en scène sous ses augures d'érotomane fait de ce réalisateur un incontournable du 7ème art.

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• Rang parmi les ventes Amazon: #698664 dans Musique
  
• Sorti le: 2002-05-28
• Nombre de disques: 11
• Formats: Coffret, Import
• Dimensions: .20 livres
  

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La meilleure intégrale chostakovienne depuis Haitink ? Barchai a pris le temps de mûrir son approche
Par Mélomaniac
Rudolf Barchaï fut un proche de Chostakovitch. Créateur de la 14 ème symphonie, il arrangea aussi certains quatuors pour ensemble à cordes, enregistrés pour Deutsche Grammophon.La présente intégrale fut gravée à la fin des années 1990 avec l'orchestre de la Radio de Cologne.Alors que Rojdestvenski, dans les années 1980, en pleine perestroika, tentait encore de rattacher ces oeuvres à leur contexte historique -de manière souvent tonitruante et superficielle à mon goût, Barchaï, à l'instar de Haitink, cherche à mettre en valeur le classicisme de leur facture.Mais quand le chef néerlandais, aidé par la magnificence du Concertgebouw d'Amsterdam, atteignait souvent une transcendance esthétique, Barchaï reste parfois tributaire d'une approche plus prosaique, plus détendue.Malgré les évidentes qualites techniques et l'implication des instrumentistes allemands, les opus les plus profonds (8, 13, 14, 15) restent ainsi en retrait par rapport à des interprétations plus substantiellement nourries.Les symphonies de "propagande" (2, 3, 12) sont en tout cas beaucoup plus convaincantes que les lectures académiques de Haitink.Le fleuron de cette intégrale demeure une splendide 7 ème, d'une légèreté et d'une transparence néoclassiques infiniment séduisantes.En fin de compte, ce cycle gravé dans la discrétion, magnifiquement enregistré, est selon moi le témoignage chostakovien le plus intéressant de cette derniere décennie, tout autant que l'intégrale que vient de boucler Mariss Jansons sous le feu des projecteurs médiatiques.

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Requiem pour un ami
Par Priscilla
La disparition toute récente de Rudolf Barshai est passée inaperçue; d'ailleurs s'il ne m'avait pas émue dans les "Notes interdites" de Bruno Monsaingeon, je crois que moi aussi, j'aurai continué à l'ignorer. Le coffret à sa gloire dans la série des Archives russes de Brilliant est un fouillis pas possible. Son legs, son grand oeuvre, à part la création de la 14e de Chostakovitch, c'est CE boîtier enregistré à Cologne dans d'excellentes conditions, techniquement meilleures par exemple que le boîtier Jansons, à peu près contemporain mais plus médiatisé. A tort !!! J'aime la force brute de Kondrachine, la violence débridée de Rozhdestvensky et - un peu moins - la somptuosité des disques d'Haitink, enfin ceux d'Amsterdam du moins - (pour ne parler que des intégrales), j'aime aussi l'humanité et les couleurs plus claires qu'obscures qui se dégagent de ces 15 symphonies par Barshai. Ce parti-pris d'antigrandiloquence (le mot n'est pas bien choisi, j'avoue) peut avoir ses limites (la 8e ne laisse pas d'impression durable ici), ce Chostakovitch si différent, chantant, presque doux (la Léningrad la plus musicale car la plus "humaine" est peut-être ici; à noter également une magnifique 11e, symphonie que je trouve de plus en plus attirante) a une hauteur de vue qui n'est pas donnée au tout-venant. J'imagine que Barshai, qui a attendu la mort de Chostakovitch pour quitter l'URSS, y a mis tout son coeur. Absence totale de calcul, de frime. Du coeur, seulement du coeur.

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