Swing Era: Peggy Lee [Import USA Zone 1] Acheter

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Swing Era: Peggy Lee [Import USA Zone 1] Descriptions du produit:

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• Rang parmi les ventes Amazon: #196506 dans DVD
  
• Sorti le: 2003-07-08
• Nombre de disques: 1
• Formats: Import, NTSC
• Langue d'origine:
  Anglais
• Nombre de disques: 1

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4 internautes sur 4 ont trouvé ce commentaire utile.
Un très grand moment de jazz et bien plus encore ce superbe D.V.D. bien que noté ici en zone 1 est en zone 0 lisible partout !
Par Aufranc CHRISTIAN
Je sais que ce commentaire vous paraîtra long, trop long, mais non je ne puis faire plus court car pour la première fois un superbe hommage est rendu aux orchestres féminins. En gros caractères sur la pochette figure Peggy Lee ce qui n'est pas rien, mais il y aura quatre autres figures incontournables du jazz conjugué par la gente féminine et pas n'importe lesquelles, à mon avis du jamais vu !!!Pour commencer ce D.V.D. est lisible en France il est en P.A.L./N.T.S.C. zone 0.Autrement dit visible partout et sans me lancer dans des explications qui ennuieraient tout le monde et moi le premier, sachez que vous pouvez le lire même avec l'un des premiers lecteurs D.V.D.. Ainsi ce D.V.D. est composé de deux faces. Le mieux est de regarder ce D.V.D sur la face 1 en P.A.L., pour plus d'explications allez chez nos amis Wiki qui vous expliquera bien mieux que moi les deux systèmes.Norman Dolores Egs-Trom dite PEGGY LEE est née le 26 Mai 1920 dans le Dakota du Nord, elle débute le chant dans une chorale paroissiale. A seize ans elle adopte le pseudonyme de Peggy Lee. Elle entre dans la formation Will Osborne durant quelques mois puis elle est remarquée par Benny Goodman qui lui demande de rejoindre sa formation dans laquelle Peggy restera deux ans 41/43.En 1944 la chanteuse se produit dans des shows de Andy Russel et Bing Crosby elle enregistre des titre chez "Capitol" puis s'évade pour une très longue carrière en solo, engagée pour "Le Chanteur de Jazz"en 1952 et chantera toute ou presque durant sa vie toutefois en 1992 elle enregistre "Moments Like This" avec peine. Elle nous quitte le 21 Janvier 2002.1- Why Don't You Do Right ? La voix de Peggy Swing soft voire "Soul" sa voix est encore un peu rauque légèrement nasillarde mais déjà très agréable, elle "colle" bien à cette époque.On reconnait son mari Why Don't You Do Right ?à la guitare electro-acoustique et son propre orchestre.Peggy épousa en 1943 Dave Barbour qui accompagnera la chanteuse avec son orchestre jusqu'en 1951 année de leur divorce.2- I Cover The Waterfront. Nous retrouvons Peggy avec son "husband" et son quartet invisible dans ce "clip". Tandis que la caméra et un projecteur sont braqués sur le couple, Peggy Lee trouve une voix plus douce, suave. Dave Barbour est exceptionnel à la guitare nous arrivons ici dans un jazz "Glenn Miller" doucereux.3- I May Be Wrong. On commence avec ce moreau à rouler et se balancer avec une introduction Rock and Roll de Dave Barbour pour retrouver une musique plus jazzy dès que Peggy commence à chanter, l'orchestre reste sur ses deux battements.Et Wahoo! tout finit sur un rythme Blues. Superbe !4- I Only Have Eyes For You. Et là c'est très beau, Dave entreprend ce morceau de choix à la guitare avec un "Jazz-Manouche" qui sans l'image nous ferait penser à Django Reinhardt pui vient l'orchetre soutenant définitivement le rythme Jazz avec une Peggy Lee plaçant sa voix qui la suivra de longues années douce et appuyée. Il y a de quoi tomber sous le charme !5- What More Can A Woman Do ? Je ne sais pas, allons voir un peu... C'est Dave qui débute cette chanson accompagné du batteur qui "bat l'omelette" avec ses balais, la basse et le piano suivent et là nous sommes en niveau jazz affirmé. Peggy est en balade avec un seul "l" et nous donne quelques frissons avec sa voix définitivement placée... pour notre plus grand plaisir. Un plaisir trop court.6- I Don't Know Enough About You. La caméra restera fixée sur le couple pour nous emporter vers un vrai jazz, soft mais ô combien délicieux, la voix de Peggy devient là "A Voice" et ce n'est pas pour rien qu'ils sont baptisés comme "Mr and Mrs Melody" surnom qu'ils acquièrent grâce aux nombreuses et excellentes chansons qu'ils composèrent ensemble...............June Christy, de son vrai nom Shirley Luster née le 20 Novembre 1925 à Springfield dans l'Illinois pour nous quitter le 21 Juin 1990 à soixante-cinq ans.Nous la voyons ici avec un précurseur de Richard Galliano avec le quartet Ernie Filice accordéoniste (accordéon-piano).7- She's Funny That Way. June nous emporte dans un très belle balade accompagnée pendant presque toute la chanson par le pianiste, un pur moment de plaisir avec un timbre de voix peu feutré mais néanmoins langoureux, l'orchestre se joint an sourdine à la fin de la chanson.8- Taking A Chance On Love. Là nous sommes en plein jazz l'orchestre est au complet et l'accordéon nous donne un fameux duo avec une clarinette suivi du piano. Le rythme est très brillant, bien jazzy, avec la voix de mezzo placée chez June; une belle chanson qui s'éteint same a candle in the wind, I beg your pardon. Magnifique.9- Imagination. Une très,très belle mélodie pour une belle balade où la voix de June est laissée seule avec le piano, comme un exercice de style, de la chanteuse seules les lèvres bougent entourées de deux boucles de cheveux de chaque côté du visage et d'une troisième sur le front comme pour protéger sa voix au timbre doux, son corps reste figé, pas un geste, nous sommes presque dans une "lullaby".10- All God's Chillun got rhythm. Le piano nous annonce une romance, mais bien vite nous arrivons dans un superbe swing s'estompant parfois pour revenir à la romance puis cela repart swing, and swing, and swing et finale par tout l'orchestre. Cela ne se fait plus des comme celle-ci et c'est bien dommage, bravo June. "Si une fille est tombée malade ou a décidé de se marier, c'était horrible d'essayer de la remplacer ... Vous seriez surpris combien il est difficile de trouver un joueur de trompette bonne femme. "De 1940 à 1950 j'ai eu un orchestre tout-mâle avec certains des meilleurs accompagnateurs de l'entreprise ... Mais quand une chaîne de télévision est venue pour un groupe de filles, j'ai reformé un nouveau groupe. De filles sans un seul mec. "Je vends le spectacle comme un programme de musique, non pas sur une base sex-appeal ...Mais si les courbes des jeunes filles attirent un public, c'est tant mieux ! "Mais qui a dit cela ? Et bien c'est la "saxo-sexe" américaine : Ina Ray HuttonEt cela nous donne un groupe bien féminin ; Ina Ray Hutton And Her Melodears, tout un programme !Ina Ray Hutton est née le 13 Mars 1916 était une femme leader lors de l'époque Big band (voir Glenn Miller).Née à Chicago d'origine afro-américaine. Elle commence à danser et à chanter à l'âge de huit ans. Dans les années 1930 elle vient à Broadway.En 1934 elle conduit un orchestre tout-fille, les Melodears. Hutton et ses Melodears ont été l'un des premiers tout-fille band jusqu'en 1939. En 1940, elle dirige un orchestre tout-homme qui a été présenté dans le film "Même Depuis Vénus" en 1944; les années 1950 la font renouer avec le tout-fille. Pendant ce temps elle eut quatre maris...A soixante-sept ans elle nous quitte le 19 Février 1984.11- Medley With I'm A Hundred Percent For you. Là je ne sais pas si Jean-Christophe avait été averti mais nous sommes en plein Music-Hall, à la baguette elle les dirige ses girls! Nous sommes à la croisée de Betty-Boop et de Marilyn Monroe ! Cela swing un peu et c'est drôle... A ne pas manquer.12- Hutton Club Shake. Ambiance cabaret, chapeaux haut de forme. Là nous sommes en plein Big Band à la Glenn Miller, ça on ne nous l'avait jamais fait la rythmique est assurée par quatre jolies pin-up avec comme instruments des shakers à cocktails, pas mal non ? Et la musique est bonne.Nota bene : Pas de G.I. dans la salle, je vous laisse imaginer.13- Truckin' Nous continuons dans le registre Big-Band-Miller avec un air comme un "déjà vu" chez le tromboniste de la guerre. Et de plus c'est drôle.Un peu de Jéricho !! Dans ce morceau la Chef chante et nous fait un numéro de claquettes infernal pendant plus d'une minute, elle a vraiment la santé, à la bonne vôtre.14- She's The Topic On The Tropics. On entend les tam-tam, enfouis sous la basse et naine canopée inextricable.Nous sommes au beau milieu de la jungle et point de "Ballo" pour nous sauver. Deux jeunes-filles chantent une mélopée enivrante, chargée de sucs venimeux tandis que le boa de service joue du trombone sur un air venu d'Afrique ou de l'Île de Robinson Crusoé.Pendant ce temps deux hommes s'enivrent au Martini-Gin (d'après la forme des verres) et ces deux "topics"semblent bientôt défaillir sous le mélange sexy-alcool ! A VOIR !15- Bei Mir Bist Du Schöen. Chanson nouvelle sur un air connu (et endiablé) un peu volé à Benny Goodman, mais allons ne soyons pas mauvaise langue devant une si sexy pianiste et une chanteuse si sexy ! FORMIDABLE ! Ah, j'oubliais nos deux acolytes alcooliques voient Ina Ray en double puis en triple et pour finir en tétra Ray puis ils s'affalent l'un contre l'autre, complètement saouls sous les balconnets d'Ina Ray. C'est ça du jazz spectacle. Dommage cela ne se fait plus.16- Swing Hutton Swing. Un medley-collé d'airs empruntés à Goodman,aux frères Dorsey et bien d'autres sur une dizaine de morceaux choisis dans les Big-Bands Ina Ray nous régale, de plus en plus sexy, des dos nus et plus, des balconnets de plus en plus plongeants elle chante, elle danse viennent deux guitaristes Hommes, les pauvres, pour l'accompagner elle nous refait dans ce sublime final un nouveau numéro de claquettes et c'est SUPERBE.Vient ensuite Lorraine Page et son Orchestre, de Lorraine Page nous n'avons gardé que l'oubli, chose bien regrettable et nous allons lire pourquoi.Jeune femme héritière de Lester Young ?17- Sweet Sue. Non seulement encore un orchestre féminin, mais c'est qu'elles deviennent de plus en plus dévergondées les nanas, les mini-jupes tourbillonnantes dévoilent les petite culottes, la Chef est superbe et les instrumentistes phénoménales, extraordinaires des hommes viennent en refort pour chanter et ce sont les filles qui les entreprennent, tout cela sur du bon, du vrai jazz, comme nous l'aimons.Ici c'est du vrai spectacle, de la vraie musique. ET NOUS NE SAVONS PLUS LE FAIRE !L'orchestre de dames n'a vraiment rien à envier aux hommes, quelles musiciennes, mais hélas tous les bravo du monde ne les feront pas revenir.Sur ce D.V.D. c'est le seul morceau de Lorraine Page.Rita Rio And Her Mistresses Of Rythm.De son vrai nom Dona Drake. Sous le premier pseudonyme de Rita Rio, elle débute au cinéma en 1935. Puis un long métrage Strike Me Pink de Norman Taurog en 1936, quasiment tous ses films sont musicaux, son premier film sous le second pseudonyme de Dona Drake est Aloma, princesse des îles en 1941, avec Dorothy Lamour dans le rôle-titre et Rita tient un second rôle « exotique »;En tout, elle contribue à 29 films américains dont des westerns, le dernier étant La Princesse du Nil en 1954.De 1944 à sa mort en 1989, elle est l'épouse du costumier américain Travilla.18- I Look At You. Encore un orchestre féminin, que dis-je encore ! Heureusement pour terminer (malheureusement)un nouvel orchestre de femmes, de jeunes et belles femmes, encore et encore du bon jazz cela swing bien. Mais un homme fait irruption et pas n'importe quel homme ! Non pas Gary Cooper, presque, Alan Ladd le cow-boy de ses dames, même Boris Vian l'avait mis dans sa chanson "le cinématographe"! Bon ! Le tout même au cas où nous ne verrions pas l'image, quelle bon jazz §19- Flying Feet . Alors là, nous sommes vraiment gâtés, chapeaux bas et nous les jetons en l'air, non seulement le jazz est là, non seulement il est bon mais en prime sur cette chanson plus connue sous le nom de "la Pampa" dont le rythme fut arrangé, mais nous avons droit à un numéro de danse acrobatique tenu par une jeune fille digne de figurer aux Jeux Olympiques, mais que demander de plus et bien un numéro de claquettes sur l'air très connu et bien plus ancien qu'il n'y parait "La Cucaracha" petite bestiole que nous pouvons traduire de certains endroits hispaniques par "cafard" oui une blatte ! Et bien celui là il ne nous effraie pas ni nous le donne le cafard, parole d'honnête homme ! Bravissimo, Bravo,Encore et encore.20- Sticks and Stones. Alors là c'est reparti, ça swing, et elle est très sexy la Rita et je vous promets que si Monsieur le Curé passe sur le trottoir de droite et Rita sur celui de gauche, quitte à recevoir des coups de parapluie venant de ma mie, et bien c'est à gauche que je vais regarder !S'ensuit un beau numéro de claquettes, je ne m'en lasse pas et là en catimini qutre, oui quatre hommes viennent s'immiscer, non mais, aller dehors messieurs, bon ils claquent bien des talons tout de même, mais est-ce une raison ? A nouveau et pour clore un nouveau numéro de danse acrobatique.Remarquez le monsieur bien dodu à la voix bien efféminée, oui nous ne sommes pas là pour pleurer !21- et dernier : Feed The Kitty. Après une ouverture de quelques mesures à la harpe là le Bid Band Women dirigé par Rita n'a rien à envier aux plus grands, Rita chante et quelle Musique avec un grand "M" je compte tout de même seize musiciennes de hauts niveaux, vraiment du Jazz, du bon jazz qui restera dans ma mémoire, que j'aurai plaisir à partager, à la fin le public vient danser jeunes et vieux. Quel moment...70 minutes de pur bonheur que nous trouvons chez amazon UK pour quelques £, bien sûr vu l'époque ce magnifique et incontournable D.V.D. est en noir et blanc, promis cela ne gâche rien, mais rien du tout. FIN.

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